Actu

10/01/2022

Heuuu, non rien. On attend toujours la vraie neige…

16/02/2022

Il est utile de passer la semelle au défarteur avant rasage. Cela lubrifiera un peu et aidera à avoir un mouvement continue et minimise le risque que la lame « plante » dans la semelle ou rebondisse et fasse des micro vagues.

Si vous devez mettre beaucoup de pression pour sortir du copeau, cela veut dire que l’outil n’est pas assez affuté. Vous pouvez le re-affuter façon « racloir » menuisier (cf ci-dessous). A noter que le passage sur une pierre à huile est inutile, car on veut justement les petits « défauts » de planéité qui font la structure linéaire.

04/03/2021

J’ajoute que bien nettoyer une semelle, ce n’est pas étaler la saleté…Pour les résines de sapin, hydrocarbures, farts et autres « colles »,  Il faut appliquer un produit qui déstructure les polluants, frotter, * le laisser agir * et puis enlever le tout. Idéalement la lingette d’application ne doit pas être absorbante (tissus synthétique, feutre), mais la lingette pour essuyer doit être très absorbante (coton, sopalin).

20/02/2021

J’ai édité un peu les pages pour insister sur le fait de brosser et surtout nettoyer les semelles de skis en cours de saison. Eau savonneuse ou défarteur. J’utilise occasionnellement le Swix Citrus. Je ne sais si c’est vraiment plus écolo mais ça sent bon 😉

J’ai mentionné le fait que le rouleau FP ne semble plus disponible à la vente.

Les semelles transparentes sont plus difficiles à polir après le raclage, car elle sont plus résistantes à l’abrasion. J’utilise la Kuzmin HSA et une brosse manuelle laiton.

01/10/2019

Pour les accros qui ne veulent pas sacrifier l’effet des « accélérateur » sur les premiers kilomètres, tout en gardant la simplicité de préparation des skis, il y a des soldes intéressantes sur les produits Holmenkol chez Sport Bittle.
https://www.sport-bittl.com/en/
Speed Finish 2.0 Mid ou Wet à -33% (80 €). A priori, un peu plus de tenue que les accélérateurs/lubrifiants purs. Je n’ai pas suivi depuis des années mais c’est l’évolution des premiers produits issus des nano-technologies (de chez Nanogate, autrefois actionnaire majoritaire de Holmenkol) avec, soi-disant, auto-arrangement de molécules ayant des liens d’affinités (de tenue) avec l’UHMWPE. Un coté qui s’attache à la semelle et l’autre coté, hautement fluoré, qui fait la glisse. Il y aurait donc une meilleure tenue si on applique directement sur la semelle plutôt que par dessus une paraffine. Mais ça on le lit plus… C’est sans doute mauvais pour le business.
Ou encore le Syntec Speed Stick, pour une descente de ski alpin.

30/09/2019
Le ski de roue de nuit se passe mieux si on voit bien les anfractuosités du terrain. Pour un éclairage rasant fixé à la cheville j’ai trouvé la Petlz Bindi. Elle manque un peu de focus mais c’est pal mal. A coupler avec un second éclairage ; ceinture ou frontale.

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14/02/2019
Un petit mot sur les nouveaux racloirs Kuzmin.
Il ne faut pas commettre l’erreur de supprimer la « bavure », comme j’avais commencé par le faire sur un des angles de coupe, en pestant sur la qualité… Cette bavure est bien ce qui fait…tout… (coupe et structure). Voir le principe du « racloir » menuisier ci-dessous.
Les nouveaux outils sont plus efficaces que les outils précédents. Très coupants, ce n’est pas la peine d’appuyer fort mais simplement trouver le bonne angle.
Bon, attention quand même à la qualité : Kuzmin a publié sur son Facebook un message expliquant qu’il y a eu une mauvaise série d’outils « U »niversel 2018 qui créaient trop de structure.

03/02/2019
Ce samedi 02/02/2019 j’ai participé au 46 ème Marathon des Neiges. Course désormais en nocturne, organisée dans le Jura, sur le plateau du Grandvaux par le foyer rural de Prénovel. Cette année le départ était donné à Chaux des Prés. Deux boucles de 17 km. Très beau parcours, tout en glisse. Une montée de 5 km quand même bien roulante et juste un bon petit raidar sur le retour. Je termine 79 ème en 2h08 pour une course qui se gagne en 1h29. Plutôt content car je n’ai pas fait d’entrainement particulier et très peu d’intensités. Inscrit à la dernière minute et sans classement de référence – celui de l’année dernière n’avait pas pu être établi – je suis parti en 3ème ligne, celle des gueux et des sans dents farts… ;-). J’ai pas mal doublé au début et ensuite les écarts étant faits, j’ai beaucoup skié seul, ce qui fait qu’on perd un peu en rythme parfois. Mais c’est plus de plaisir de glisse sans devoir être attentif aux bâtons des autres et à ne pas laisser trainer les siens.. J’ai rattrapé deux ou trois participants et été doublé par deux trois autres. Je peux dire que la glisse était bonne. Bien qu’il ne faisait pas très froid et très très humide j’avais pris les S1, aussi en prévision de la petite chute de neige qui n’a pas manqué d’arriver. Et la nuit la température descend parfois vite. La neige de surface était bien transformée mais parfois de la neige fraiche et froide avait été remontée par les dameuses. Ça brassait beaucoup beaucoup car le parcours n’emprunte globalement pas les pistes balisées et le fond était bien mou. Les Rossignols, même S1, sont sans doute un peu raides en spatule pour ces conditions. Des Vandel, qui eux sont bien souples en spatule auraient pu être adaptés mais les miens n’ont vraiment plus de nerf et ne sortent plus que par -10°c.

29/12/2018
Pour ceux qui ne veulent pas investir dans un racloir spécifique (Kuzmin, skimateria, ou autre ), on peut faire un travail plus qu’honnête sur la semelle avec un racloir « menuisier » (ou racloir métallique Swix, Start etc..) . Le racloir de métallique peut aussi servir simplement à mettre à plat la semelle. Les racloirs spécifiques servant uniquement pour la finition.

Deux vidéos pour préparer un racloir.

Racloir de menuisier – Première partie

Racloir de menuisier – deuxième partie

A noter qui si vous avez de l’outillage pour ski alpin : lime à denture à sens unique et lime diamant, c’est parfait pour préparer votre racloir.

Pour ne pas risque de creuser la semelle lors du travail, par courbure du racloir, il est peut être judicieux de créer le mordant sur le petit coté du racloir.

Une fois votre racloir prêt, si vous n’avez pas de racloir de finition, il faut alors « briser » le fil, par exemple à l’aide de la lime à denture à sens unique : Faites simplement un ou deux *appuis* (attention ! on le « lime » pas !!) sur le fil. Voila, votre structure est créée.

22/11/2018
Je n’avais pas acheté de racloir depuis 2014 je crois et là j’ai acheté un set complet. Les modèle 017 et au delà sont différents dans le sens ou ce sont de vrais « racloirs » et pas des « couteaux ». Un « racloir » a une « bavure » (cf http://www.stewmac.com/How-To/Online_Resources/How_to_Install_and_Repair_Instrument_Binding_and_Pur/How_to_sharpen_a_scraper.html en anglais désolé) qui fait la coupe (et aussi la structure en ce qui concerne ces racloirs pour semelles de skis) alors qu’un couteau n’en n’a pas. Les modèles précédents étaient donc plutôt proches des couteaux.
le racloir « moins » qui est en carbure de tungstène reste un couteau, qui ne fait pas beaucoup de structure donc.
Je ne les ai pas vraiment utilisés, juste testés. J’en reparlerai.

05/02/2018
Le non-fartage du jour :

J’ai participé au Marathon des neiges de Prénovel en nocturne ce samedi 03. Déplacé sur Lajoux. Belle course. Coucher de soleil, ruban des lucioles des participants. Très joli.
Malheureusement pas de classement officiel car il y a eu des problèmes à un carrefour. Certains on coupé 3 km sans le vouloir. Moi j’ai fait l’intégralité du parcours et même 2x300m de plus car nous avons été plusieurs à faire demi-tour lorsqu’on s’est aperçu qu’on avait loupé un carrefour.
Neige fraîche et froide. -5°c au départ à 17h30 et -10° à 19h30. Très content des skis (Rossignols Premium S1) rasés, téflonés au rouleau et polis à la brosse Haute Vitesse. Super glisse. Pour environ 30km, cela se gagne en 1h19 et je termine en 1h57 (y compris les 600m en trop, le questionnement et le demi-tour, donc. On perd vite des minutes..). Je me suis amusé à faire un classement virtuel en ajoutant le temps nécessaire à faire ces 3km de plat à ceux qui ont coupé et retranché mon temps perdu. Je me situerais autour de la 90 ème place sur 133 à l’arrivée (dont peu de « promeneurs »). Parcours plutôt difficile avec pas mal de dénivelé. Point bas (départ) 1170m. Point haut 1400m. Deux montées de la combe à la chèvre. Comme je suis parti en 3ème ligne et que cela fait 30 ans que je n’ai plus mes jambes de 20 ans, je ne suis pas mécontent.

11/01/2018
Bonjour et bonne année à tous les fondeurs.

Après un début de saison exceptionnel, le vent et le redoux sont passés par là… pour nous rappeler que le fart qui s’encrasse le moins est celui que l’on ne met pas.

Un petit rappel : Une préparation Kuzmin n’efface pas la macro-structure usine (sauf si on passe beaucoup de temps à le faire sciemment… afin de pouvoir jouer avec ses propres macro-structures). Une préparation Kuzmin améliore la structure usine en la rendant moins agressive. Vous optimisez aussi la micro-structure, car les outils ne sont pas « lisses ».

Pour une préparation course, et comparer ce qui est comparable, il faut aller au bout de la démarche et faire du polissage haute-vitesse et application de Teflon (rouleau ou brosse selon les conditions). Et surtout avoir sous la main la bonne paire de ski. La glisse c’est d’abord le ski, ensuite la micro-structure puis la macro-structure. Vous ne « déplanterez » pas un ski avec de la cera. En revanche vous pouvez vraiment planter avec du fart de base trop mou. Faites votre choix….

05/03/2017
J’ai participé à la Traversée du Massacre. Belle course mais difficile. Un bon dénivelé. Je termine en 2h10 pour une course qui se gagne en 1h23. 130ème sur 163 à l’arrivée. Glisse pas vraiment top. Il avait neigé 15cm dans la nuit et la neige fraîche de printemps c’est jamais simple. Plus je montais en altitude et moins je glissais. En descente j’ai pu limiter la casse dans les traces lustrées. J’ai quand même bien ramé. J’étais en Rossignol S2 et je soupçonne que des S1 – que je ne possède pas encore, mais du coup ça ne va pas tarder 😉 – auraient été plus adaptés. Si la neige fraîche ne « rend » pas sont eau la friction est en fait très sèche. Première longue après, quoi, plus de 10 ans. Parti en 3ème ligne, le résultat aurait pu être pire..

26/01/2017
J’ai ressorti le Xriller de sa housse. J’ai percé de nouveaux trous d’axes, plus bas, afin que les rouleaux dépassent du support. Ainsi le support ne frotte plus contre les bords du ski, ce qui provoquait du labourage de semelle. Je fais toujours de multiples petites passes qui se recouvrent. Bon, l’option « chauffe » est perdue, mais pour les condition bien humides, une bonne structure linéaire fonctionne bien. Quitte à ajouter un peu d’aération avec le xriller, et surtout avoir les bons skis… À suivre.

22/12/2016
A propos de carbure de tungstène, on note que c’est fabriqué par « frittage »de poudres, tout comme les semelles UHMWPE. Ceux qui pensent encore que la nature frittée d’une semelle en fait un matériau poreux peuvent essayer d’améliorer les outils au carbure tungstène avec du fer fondu ; c’est le même ordre d’idée que tenter de mettre de la paraffine dans une semelle ;-))

17/12/2016
Les outils de coupe Kuzmin ont évolué. Ils se vissent désormais sur un support et il n’ont plus que deux angles de coupe ou lieu de 4. Plus intéressant, l’outil de coupe « – » est en carbure de tungstène. Virtuellement inusable ! On est loin du business model de l’obsolescence programmée (ou du fart qui dure 4 km…) .

21/04/2016
Aujourd’hui très belle matinée aux Saisies; Station qui ferme demain soir… Il va bien falloir ranger les skis. A l’abri de la chaleur et de la lumière et c’est tout. Si vous avez bien compris le principe de la philosophie « sans fart », Il faut éviter de polluer la semelle avec du fart hydrocarboné (CH). Ça diminue ses propriété intrinsèque de glisse. Et puis ne pas oublier que le choc thermique du fartage accélère le  vieillissement de la semelle. Ce que vous pensez gagner d’un coté en « protection » contre l' »oxydation » (si elle existe…) vous le perdez de l’autre en dommage collatéraux structurels.

29/02/2016
Les outils de coupe doivent toujours être bien affutés. Il ne faut pas appuyer fortement pour créer le copeau. Vous pouvez tenter un affutage de l’outil, mais vous risquez d’en perdre la « structure ». Vous pouvez alors tenter de travailler après coup au sabot avec des structures très fines . Sinon, achetez un nouvel outil.

29/02/2016
Cette hiver très doux a permis de voir combien il est important d’avoir une bonne structure pour bien glisser sur les neiges humides.

Une préparation pour vos skis dédiés aux conditions humides (Ces skis doivent avoir des appuis plutôt courts.) :

  • Mise à plat à l’outil Kuzmin +. (Parfois la mise à plat est difficile si les semelles sont bien tuilées. Une mise à plat parfaite n’est pas cruciale pour les conditions humides.
  • Application d’une structure linéaire 1mm au sabot (Swix ou LG-Sport par exemple). Appuyer fortement pour bien imprimer la structure. Pour surnager en piscine…, une structure 2mm sur l’arrière du ski, bien appuyée aussi.
  • Deux passages légers de l’outil Kuzmin + pour ébavurer la structure.
  • Petits passages courts et bien appuyés, se recouvrants, d’une structure intermittente rouleau 1mm
  • Polissage avec les brosses dont vous disposez (rotative Kuzmin à poils ultra-fins c’est mieux pour polir rapidement et atteindre le fond de la structure)
  • Polissage brosse PTFE, si vous avez.

Si vous skiez sur neige sale, en forêt, dans les rails pleins de klister… nettoyez la semelle au défarteur de temps à autre (Notez que des skis sans paraffine agglomèrent beaucoup moins les saletés que des skis paraffinés.). Appliquer à nouveau le rouleau intermittent 1mm de temps à autre en appuyant fortement et puis polissage PTFE.

Si vous semblez bien glisser à faible vitesse mais que vous sentez que ça freine par a-coups lorsque la vitesse augmente, c’est que vous avez trop de structure. Il est assez probable que votre paire de ski dédiée aux conditions plus froides ira mieux. Éventuellement appliquer à cette dernière une structure rouleau 0.5mm puis rouleau intermittent 0.5 mm sans trop appuyer.

19/02/2016
J’ai ajouté le pdf de la thèse de Jan Lukas Giesbrecht : Polymers On Snow. Toward skiing faster. Intéressant papier qui prouve l’importance primordiale de la structure / texture de la semelle. Un polymère relativement hydrophile, qui ne glisse pas du tout à l’état lisse, atteint des performances comparables aux autres une fois structuré. Le PTFE garde toujours un léger avantage cependant. Mais la structure de la semelle a une influence bien plus déterminante que la composition chimique de la semelle (ou du fart…)

13/04/2015
Pour la prochaine saison 2015/2016 il est très probable que des skis à semelle PTFE seront en tests intensifs. Depuis la saison 2013 / 2014, des prototypes ont démontré qu’ils glissent mieux que l’UHMWPE dans différentes conditions, mais aussi qu’on a un moyen de préparer une des faces pour coller du PTFE en couche mince. cf le papier suivant : Efficiency of Teflon Sliding Surface.

23/12/2014
On pose souvent la question pour savoir si les outils de coupe de type Kuzmin sont utilisés à haut niveau. La réponse est OUI. L’équipe de Norvège utilise un outil similaire.

Knut Nystad ( Le chef « fartage » de l’équipe de Norvège)  parle de caisson de saturation et de prépartion « Kuzmin ».

Il ne parle pas cependant pas des outils plus récents de Kuzmin. La brosse et le rouleau PTFE.

Petit à petit on converge vers les conclusions de Kuzmin : Le fartage « coupe du monde » ça fonctionne, mais pas longtemps (et parfois vraiment pas longtemps du tout). et rien ne sert de passer des heures à « nourrir » une semelle.

– Sur son blog : http://knutnystad.com/smoretips-2/

« …dans mes conversations avec des scientifiques, ils ont évoqué le peu de science qui existe au sujet de semelles de ski et la saturation. Il en est ressorti que plus de fartage avec chaleur relativement élevée est préférable à une étuve à une température relativement basse… »

– Dans une interview : http://www.langrenn.com/slik-blir-det-gullski.4890098-1743.html

« ..
Nystad : Après la structure Pierre les skis nécessitent une préparation initiale.
langrenn.com: combien de temsp est ce que cela prend ?
Nystad: C’est assez rapide environ 45 minutes.
langrenn.com: Utilisez vous un thermobag ?
Nystad: Non. …  »

– Dans le même commentaire sur son blog :

« .. Vérifiez Kuzmin, il écrit beaucoup de choses intéressantes, contrairement à ce que beaucoup croient – c’est une lecture intéressante … »

http://knutnystad.com/about/comment-page-1/#comment-860

« nous avons testé et comparé cette méthode avec ce que nous faisons. Pour nos fins, nous avons toujours quelque chose de mieux . Ce que nous constatons est que tous les skis perdent la glisse au fil du temps ( abrasion ou saleté) . Il est bien possible qu’après un certain nombre de km la méthodologie Kuzmin soit meilleure que le fartage traditionnel, mais nous n’avons pas testé si c’est 20 ou 40 km car sur les longues distances nous sommes autorisés à changer de ski  [commentaire de l’éditeur : Sur un 50km , 5 changements autorisés, tous les 8km…] et ce n’est donc pas pertinent pour nous.
mais cela étant dit . Le racloir acier a des avantages. Il fournit des semelles fraîches , planes et une structure – ce qui est bon . Il nécessite évidemment de l’habilité, mais il peut être une bonne option pour beaucoup. Je crois personnellement que c’est mieux de le penser comme un outil de plus , et que ce ne est pas soit l’un soit l’autre – pourquoi ne pas combiner avec des méthodes traditionnelles de fartage ? Nous utilisons un outil similaire .
http://www.norskeski.no – c’est un très bon outil !! »

13/12/2013
Kuzmin propose un outil pour faire des structures croisée « vraies » et aléatoires. L’outil a deux rouleaux hélicoïdaux (vis) ayant des pas différents et plus larges que les rouleaux existants.

http://kuzmin.se/pgs/xriller_en.html